Delhi (Inde) – entre chaos, pollution et merveilles

Chaleur, pollution… mais on adore !
Partie 1 : Carnet de voyage
Partie 2 : Conseils pratiques

Partie 1 : Carnet de voyage Delhi

Jour 1 : Aéroport -> Guest house -> Marché

Après Doha et ses 36h de magie, nos premières heures à Delhi nous font regretter de quitter Doha aussi tôt. Adieu la clim à outrance, adieu le sol tout propre nettoyé à l’eau de Javel ! Nous voici à Delhi, il fait 40°C à l’ombre. Premier vrai contact avec un indien pour échanger de la monnaie. Je lui donne mon passeport, il ne cause qu’avec JB. Pourquoi j’existerais hein ? Je ne suis qu’une femme.

Petite parenthèse : malgré les problèmes de paiement d’e-Visa avant notre départ, il nous a fallu seulement 5 minutes pour valider cet e-visa à l’aéroport (un simple tampon marquant la date limite). Tout ça pour ça !

5 minutes plus tard, à l’aéroport, nous entrons dans une boutique pour acheter de l’eau. Nous hésitons entre plusieurs bouteilles, un indien s’en aperçoit et nous conseille une marque. Il prend 2 bouteilles pour lui, nous l’imitons et le suivons à la caisse. Une minute plus tard : « I paid for you, welcome to India, enjoy ! »

Après autant de gentillesse, nous sommes encerclés par de faux chauffeurs de taxi. On cherche des yeux le bureau des prepaid taxis, ils s’en foutent « le bureau est par là », c’est à dire très loin du vrai bureau. Nous continuons à suivre les panneaux et payons le taxi 400 roupies (5 euros) au lieu de 350 roupies (parce que la clim, c’est 50 roupies en plus). 3 indiens nous entourent pour demander où l’on va. Ils vont jusqu’à prendre notre reçu. Je m’énerve et le reprends de leurs mains.

Notre reçu passe quand même d’une main à l’autre jusqu’aux mains du vrai chauffeur quand tous ces intermédiaires comprennent que nous allons chez « un ami » et non un hôtel. Ouf, quelle bonne idée d’avoir réservé une guesthouse. Sur le chemin, je remarque que ce n’est qu’une version plus concentrée du Vietnam, la saleté et la pollution dont les gens me parlaient sont tout à fait comparables au Vietnam. Je me sens presque chez moi lol.

Bon, en vrai, la clim est aussi efficace qu’un ventilateur mais le trajet dure 30 minutes, nos 70 centimes d’euros (50 roupies) sont bien rentabilisées. Le chauffeur nous demande de lui filer notre téléphone pour qu’il appelle le guest house (il semble ne pas savoir où c’est). Nous avons acheté une carte SIM à l’aéroport mais elle ne sera pas active avant quelques heures. Et après tout, c’est lui le taxi, il n’a qu’à se débrouiller ! Après 2-3 questions aux locaux, il finit par trouver mais nous demande un énorme pourboire (qu’on n’a pas donné, faut pas exagérer).

La guesthouse est tenue par une vieille femme issue d’un milieu aisé, elle est sikh, et parle parfaitement bien anglais. Elle est aidée par 3 personnes (du personnel, dit-elle, mais ça fait vraiment domestique) pour s’occuper d’elle et des clients. 2 d’entre elles s’occupent du ménage et un népalais s’occupe de la cuisine. Exceptionnellement, elle nous invite à manger le soir avec elle et deux guests, on est trop contents et acceptons avec plaisir.

Les deux guests australiennes veulent aller au marché. On en profite pour prendre avec un taxi (avec un supplément de 50 roupies pour la clim) avec elles pour nous rendre au Sarojini Market. J’y achète des Bindi pour 20 roupies (vous savez, ce point rouge sur le front des indiennes), d’une part parce que je trouve ça joli, et d’autre part pour qu’on me laisse tranquille (en Inde du Nord, ça veut dire que je suis mariée). Il y a un effet avant/après immédiat : on me prend vraiment pour une indienne/ou au moins une locale. Par contre, JB continue à être harcelé par tout le monde hihihi

Ce que je trouve bien avec ce marché c’est qu’il est peu fréquenté par les touristes donc je n’ai même pas besoin de négocier. Il y a plein de stands où les prix des pantalons de punjabi sont affichés, il suffit de regarder pour trouver le magasin le moins cher. J’en achète un à 100 roupies, le pantalon est super large, confortable et si j’ai un peu de chance, c’est du 100% coton.

Il fait une chaleur insupportable et même les indiens transpirent (nous ne sommes pas les seuls !), je remarque que les indiennes ont l’air toutes fraîches. Je regarde de plus près, elles sont toutes une petite serviette dans la main pour essuyer la sueur. Ah ah ! Nous voyant souffrir à cause de la chaleur, un vendeur nous accoste et nous montre des mouchoirs « You NEED hankerchiefs » ahahah !

Nous mangeons dans un fast-food indien à côté et apprenons à faire la queue comme des indiens : le premier servi n’est pas le premier arrivé mais celui qui arrive à s’imposer. Nous découvrons les taxes non mentionnées sur le panneau, gonflant un repas censé nous coûter 300 roupies à 400 roupies. Le Coca coûte cher (80 roupies hors taxe), on ne boira que de l’eau désormais. Dans ce fast-food, il y a un coin d’eau où tout le monde peut remplir sa bouteille d’eau (gratos) et se laver les mains.

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Fatigués par la chaleur, nous rentrons à la guesthouse en prenant un rickshaw et le métro (apparemment c’est très commun à Delhi de s’approcher le plus possible de la destination finale en prenant le métro puis finir par le rickshaw). Le métro est climatisé, beaucoup de gens s’assoient sur les marches menant vers le métro juste pour avoir de l’air frais. JB continue à attirer l’attention des indiens dans le métro, je m’attends à avoir beaucoup plus de sollicitations, des gens qui viennent nous parler ou nous prendre en photo mais finalement personne ne nous dérange. Pour être sûre d’être tranquille, je vais m’assoir dans la rame de métro réservée aux femmes (il y a d’énormes problèmes d’agressions sexuelles en Inde) tandis que JB reste debout avec les hommes.

Le soir, nous dînons avec la dame de la guesthouse et les deux guests. Le personnel s’active à côté pour nous faire à manger et débarrasser la table, sans manger avec nous. La dame donne des ordres et les engueule en indien de ne pas faire de pain (le fameux petit pain qui gonfle) suffisamment vite. Ca fait un peu bizarre de se faire servir comme ça. Petit moment gênant. Mais la nourriture est délicieuse et nous nous estimons chanceux d’avoir un vrai dîner local. Nous n’oublierons pas de donner un généreux pourboire au « personnel » à la fin de notre séjour.

Jour 2 : Qutub Minar -> Humayun’s Tomb -> Taj Mahal Hotel -> Massage

Petit déjeuner à la guesthouse où nous mangeons du pain frit avec une sauce au curry (délicieux !). 40 roupies plus tard, un rickshaw nous amène à Qutub Minar, où l’on voit le 3ème minaret le plus haut du monde, le plus grand d’Inde. C’est un site qui regroupe aussi des ruines de mosquée, tombes et autres. C’est vraiment très joli et réalisé avec soin, dans les moindres détails.

Pendant la visite, on remarque que plusieurs indiens nous prennent en photos en cachette. JB est souvent sollicité pour des selfies. On dirait une star et ça l’amuse beaucoup. Moi je suis la photographe.

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On voit que je suis très équipée : éventail, mouchoir, parapluie (pour avoir l’impression de marcher dans l’ombre en continu, c’est une technique très efficace en cas de marche sous le soleil en Asie, à défaut d’avoir une ombrelle, le parapluie suffira). Je porte le pantalon indien acheté au marché la veille. Normalement, il faut le porter avec une tunique/blouse pour compléter le look de punjabi mais je n’ai pas encore trouvé de tunique qui me plaise.

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Nous alternons ensuite entre rickshaw et métro pour nous rendre à Humayun’s Tomb, précurseur du Taj Mahal, qui est aussi un site comportant plusieurs monuments.Le site a été très bien restauré, car les photos avant/après sont méconnaissables. La visite est plaisante malgré les 36°C, car non seulement c’est beau, mais c’est frais à l’intérieur, avec une petite brise qui fait plaisir.

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Nous nous rendons ensuite à l’hôtel Taj Mahal à une station de métro car j’ai vu une photo de l’hôtel et je l’ai trouvé magnifique. Arrivés sur place, nous nous demandons si nous nous sommes trompés d’adresse car devant nous se dresse un immeuble banal en forme rectangulaire. Nous tournons en rond pour trouver le côté qui ressemble le plus à la photo mais nous ne le trouvons pas. Nous y entrons quand même, histoire de voir à quoi ressemble un hôtel 5 étoiles en Inde. L’intérieur ne déçoit pas, la piscine extérieure donne envie et le service est impeccable (nouveau moment gênant : un employé est chargé de vous ouvrir le robinet quand on se lave les mains aux toilettes, …). Nous y restons pour prendre un petit thé glacé (je pense que c’est le seul endroit où en Inde où nous sommes sûrs de la qualité des glaçons). C’est là où nous nous rendons compte que nous nous sommes trompés d’hôtel. Le Taj Mahal trop joli dont j’ai vu la photo se trouve à… Mumbai. En haut, l’hôtel de Mumbai, en bas l’hôtel de Delhi.

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Complètement congelés après le thé glacé et la clim à outrance au bar de l’hôtel, nous n’avons jamais été aussi contents de marcher dans les rues de Delhi à 36°C.

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Notre guesthouse se trouve à côté d’un complexe cinéma, entouré par des nombreuses boutiques, spa, et bui-bui. Nous nous disons qu’il sera quand même sympa de tester le massage indien. Finalement, ce sera un massage tibétain. Les prix sont assez élevés ici (2500 roupies taxes comprises soit 32€) mais le service est tip top. La masseuse est debout sur une petite chaise, ce qui lui permet d’appuyer bien fort sur nos muscles fatigués. Après le massage, nous avons même droit à un hammam & une douche gratuits.

Nous essayons les bui-bui pour la première fois en Inde. C’est sans photos sur le menu et donc sans trop savoir ce qui nous attends que nous commandons des rolls, momos & pain. C’est vraiment délicieux (même si nos photos disent le contraire). En rentrant à la guesthouse, nous achetons dans une boutique de la rue un kg de mangues mûres, pour 100 roupies (1,33€), dix fois moins cher qu’en France.

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Nous nous auto-félicitons du choix judicieux de nous loger dans un quartier résidentiel loin du centre ville (mais accessible en métro), ce qui nous permet de vivre presque comme des locaux. Petit déjeuner 100% indien. Aux bui-bui, personne n’essaie de nous arnaquer. Personne ne nous suit, personne ne nous demande des tips pour rien. A aucun moment les rickshaws ne nous proposent (ou nous imposent !) de passer à une boutique de souvenirs (contrairement aux rickshaws près des sites touristiques), même si il faut évidemment discuter (avec un premier prix à 100 roupies, la négociation se conclue à 30 ou 40 roupies). Bref, la belle vie ! Tous les désagréments que rencontre un touriste lambda en Inde, eh ben, nous ne nous sentons pas concernés dans ce quartier. Et bonus en prime : aucun touriste à l’horizon. C’est peut-être pour ça que nous survivons toujours et encore à Delhi alors que beaucoup nous avaient annoncé l’horreur.

Jour 3 : Red Fort -> Old Delhi

Nous sommes lundi et nous découvrons le vrai Delhi seulement aujourd’hui avec le métro 10 fois plus bondé que ce que nous avons vu les deux derniers jours. Je comprends mieux pourquoi tout le monde nous met en garde contre Delhi comme destination pour notre premier voyage en Inde. Effectivement, si tout le monde prend un hôtel dans ce quartier, c’est juste insupportable. Le Old Delhi est très bruyant, sale et nous sommes constamment sollicités dès la sortie du métro. Le plan de départ est de trouver un endroit pour manger, mais suite aux sollicitations pesantes des rickshaw, nous changeons de plan pour aller directement à Red Fort avec un rickshaw vélo cette fois. Le trafic est horrible mais nous sommes ravis d’être en tuk tuk et non à pied parce que ça aurait été dur de marcher au milieu de tout ça.

Arrivés à Red Fort, on nous annonce que c’est fermé le lundi mais il y a plein de choses trop bien à 20 roupies de rickshaw à proximité : la grande mosquée, le marché des épices etc. Sympa le conducteur de tuk tuk qui aurait pu nous le dire avant.

Nous nous cachons ensuite dans les petites rues de Old Delhi à la recherche d’un restaurant, là où les rickshaws ne peuvent pas nous embêter. Nous sommes les seuls touristes et repérons un bui bui dont les murs sont noirs. On observe le cuisinier et se dit que même si c’est pas 100% propre selon les standards français, ce n’est pas sale non plus. On copie notre voisin en montrant son assiette et demande 2 plats comme ça « not spicy » mais il n’a pas l’air de comprendre. Les plats sont servis super chauds et pimentés. Nous avons du mal à supporter à la fois la chaleur et le plat chaud pimenté. Mais c’est très bon.

Nous faisons un peu de shopping avant de stalker devant un temple sikh. On voit les gens se couvrir la tête avant d’y entrer avec une sorte de bandana jaune (à défaut d’avoir un turban), se faire garder les chaussures & laver les pieds avant d’entrer. C’est l’heure du déjeuner, je pense que tout ce monde vient profiter aussi du repas gratuit offert dans les temples sikh. De plus, celui-ci est bien climatisé. Très fatigués par Old Delhi, nous décidons de rentrer rapidement pour nous préserver. Nous venons en Inde surtout pour le Taj Mahal, il ne faut pas qu’on soit dégoûté par l’Inde aussi tôt 🙂

JB connaît pour la 1ère fois la lutte féroce pour entrer dans le métro, ce qui lui rappelle douloureusement la ligne 13 parisienne, tandis que je profite de l’atmostphère Peace & Love au wagon des femmes à côté. Il est interdit aux hommes de monter dans le wagon des femmes, alors que les femmes peuvent aller dans n’importe quel wagon. J’aperçois quand même quelques femmes dans les wagons des hommes, ça ne doit pas être si dangereux que ça sinon elles n’auraient pas été avec les mecs (ou alors elles sont accompagnées ?).

Nous passons à Select Citywalk pour voir le foodcourt dont nous a parlé la proprio de la guesthouse. C’est tout simplement un centre commercial bling bling où l’on retrouve toutes les marques internationales (H&M, Sephora, Clinique). J’en profite pour acheter des vêtements indiens chez Fabindia, hyper cher par rapport au marché (entre 1000 et 2000 roupies taxes comprises), mais fabriqués à la main en respectant les traditions blablabla. Ils vont remplacer certains vêtements non adaptés que j’ai achetés en France (vêtements techniques ou ma robe 100% lin)

C’est vrai que les vêtements traditionnels indiens sont bien et adaptés à la chaleur. Le coton est très fin mais pas transparent, la coupe est aérienne, l’écharpe portée par dessus le top peut être servie pour se couvrir la tête et le cou. Elles sont très coquettes les indiennes, l’écharpe doit rappeler la couleur du pantalon ou le haut. L’ensemble est très coordonné, coloré.

C’est sur cette note positive que nous terminons notre séjour à Delhi, ponctué par un repas indien délicieux dans notre petit quartier résidentiel.

Demain, départ en avion pour Udaipur, où la pluie nous attend (yessss merci merci) ! Qui dit pluie dit lac rempli = Udaipur, la ville la plus romantique du Rajasthan.

PARTIE 2 : Conseils pratiques pour Delhi

Comment  y aller

En avion. Delhi fait partie du billet tour du monde. Pour y aller, depuis Paris, nous sommes passés par Doha (dont nous vous recommandons vivement l’escale).

Astuces

  • N’oubliez pas d’imprimer le petit papier d’autorisation d’e-Visa envoyé à votre adresse email.
  • Evitez le centre ville. Saket est un quartier résidentiel sécurisé et abordable. Choisissez comme nous Grace’s Home ou Tree of Life qui sont des guesthouses de qualité près du métro, des restaurants et centres commerciaux
  • Achetez la carte SIM à l’aéroport, où vous pouvez utiliser votre passport pour avoir une carte SIM. Partout ailleurs, ils seront moins souples et exigeront peut-être une carte d’identité indienne. Achetez 1 ou 2GB puisque les Wifi des guesthouses sont pourris et vous avez besoin d’internet pour ne pas vous faire arnaquer par les rickshaws.
  • A l’aéroport, allez au bureau des taxis et prenez un « prepaid taxi ». Donnez-leur l’adresse de l’hôtel et non le nom de l’hôtel. L’avantage d’être dans une guesthouse c’est que le taxi pense que vous êtes chez un ami et il n’essaiera plus de vous arnaquer en vous amenant chez un autre hôtel où il perçoit des commissions
  • Visitez le centre ville le week end (Red Fort, Grande Mosquée), comme ça le métro sera moins bondé et vous pourrez respirer un petit peu. Le dimanche, le marché à Old Delhi est fermé. Si vous n’aimez pas le marché, c’est le bon moment pour aller à Red Fort et être un peu tranquille sur le chemin. Par contre, le Red Fort est fermé le lundi comme beaucoup de monuments
  • En semaine, allez aux autres monuments plus loin du centre ville comme Humayun’s Tomb ou Qutub Minar.
  • Pour le rickshaw, négociez bien. Si le chauffeur demande 100 roupies, négociez à 30 puis remontez à 40 roupies. Dans les quartiers moins touristiques, le premier prix sera de 70 roupies, pour finalement payer 40 roupies. Une règle très simple est : moins de 1Km -> marche à pied. Aux alentours de 2Km -> 40 roupies. Au-delà : métro
  • Pour le métro, vous pouvez acheter des tickets unitaires. Il suffit juste de préciser votre station d’arrivée. Vous pouvez acheter les tickets à la machine, mais il faut payer uniquement avec des billets de 10 roupies. Un contrôle de sacs est effectué à l’entrée du métro, il y a 2 entrées de contrôle homme/femme.
  • Il y a un wagon réservé uniquement pour les femmes pour tous les métros, repérez les flèches, ce sera plus sécurisé pour vous et surtout plus spacieux

Budget

  • 100 roupies = 1,3€
  • Guesthouse : 2800 roupies/chambre double/jour + 100 roupies de pourboire/jour
  • Carte SIM + 3G de data : 1 300 roupies
  • Massage : 2 600 roupies/1h de massage chez Alaya Spa (près de notre guesthouse)
  • Nourriture : 177 roupies/personne/repas (on mangeait pour pas cher car à on était dans le quartier résidentiel, donc prix très abordable comme pour les indiens). A essayer absolument : des momos (une sorte de dim-sum)
  • Shopping : les vêtements chez Fabindia coûtent environ 650 roupies/pièce, très cher pour le marché indien mais c’est d’une excellente qualité. Sinon, au marché, vous pouvez acheter les vêtements indiens entre 100 et 200 roupies/pièce
  • Visites : 500 roupies/personne (30 roupies pour les indiens)
  • Métro : entre 8 et 15 roupies/personne/trajet (mais ça dépend aussi où vous allez)
  • Rickshaw : environ 40 roupies/course (pour aller du métro jusqu’au monument)

TOTAL : 22 930 roupies soit 305€ pour 3 jours, 2 personnes (hors Shopping & Avion)

On aurait pu réduire un tout petit peu ce budget en enlevant le massage à 5492 roupies pour deux (73€, tips inclus). Cependant, un bon logement sécurisé est conseillé, quitte à payer 2800 roupies comme nous l’avons fait.

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Liens utiles

  • Grace’s Home avec climatisation, déjeuner inclus, cuisine à disposition : http://www.grace-home.in/ (réservation sans frais par email, confirmation par email 2 semaines avant la date d’arrivée)
  • Massage : Alaya Spa Salon (près de PVR Cinema) http://alaya.co.in/spalon/ <- je recommande vivement, massage tibétain à peu près 2 500 roupies, taxes comprises

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Udaipur (Inde) - la ville la plus romantique de l'Inde
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    Anh

    Anh est franco-vietnamienne et a vécu dans de nombreux pays (Russie, Australie, France, Norvège, Vietnam). Elle aime par dessus tout les chats, le DIY et la bonne cuisine. Ayant une très bonne mémoire, Anh est capable de vous donner le tarif du petit bus pris entre le Chili et la Bolivie qu'elle a pris il y a 3 ans.

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