En arrivant à l’aéroport Nikola Tesla de Belgrade en Serbie, il est possible de prendre le bus pour rejoindre le centre-ville.
Comme nous nous étions levés à 5h du matin, nous étions un peu claqués, nous avons préféré prendre un taxi.
Nous sommes jusqu’à présent très agréablement surpris par la gentillesse des serbes, mais comme à peu près partout dans le monde, il faut se méfier des faux taxis à l’aéroport.
J’avais lu sur internet qu’il était possible de prendre un « prepaid taxi » à un guichet de l’aéroport. C’est toujours ce que je privilégie quand ça existe : ça évite les mauvaises surprises.
Au niveau de la zone de récupération des bagages, des affiches confirment l’existence de ce service (j’ai oublié de prendre en photo).
Ce kiosque est disponible après la zone de récupération des bagages, dans le (petit) hall des arrivées (j’ai oublié de prendre en photo également…).
Lorsque je me suis approché du kiosque, il n’y avait aucun employé à l’intérieur. Je me suis fait aborder par un homme, qui m’explique que le service « prepaid taxi » n’est pas disponible et qu’il me propose un taxi « not expensive » pour 40 €.
Je m’étais un petit peu renseigné sur les tarifs, je sais donc que c’est absolument hors de prix 😀
Comme par magie, un homme se présente au guichet, je lui donne mon adresse. Il existe plusieurs zones, pour nous (centre-ville de Belgrade), le tarif est de 3 000 RSD, soit 25 € à cette période (mars 2023).
L’homme nous donne un voucher, sur lequel l’adresse et le tarif sont inscrits.
Point important : contrairement à certains aéroports, il ne faut pas payer au guichet, mais directement au chauffeur de taxi.
Il faut ensuite sortir de l’aéroport pour se rendre à la station de taxi. Il faut marcher 2 ou 3 minutes (peut-être pas en temps normal, il y a des travaux en ce moment). Ce qui nous a laissé le temps d’être abordé par un homme qui nous proposait de nous prendre et qui indiquait accepter le voucher.
Refusez poliment et prenez le premier taxi officiel qui est garé à la station.
Donnez-lui le voucher, vérifiez qu’il sait bien où nous allons et c’est parti. Notre chauffeur parlait quelques mots d’anglais, ce qui facilite la communication.
Je ne pense pas que le taxi prenait la carte bancaire.
Je n’ai pas non plus demandé s’il acceptait les euros.
Nous avons payé en cash, en dinars serbes, que nous avions pris la peine de retirer de l’argent avant de sortir de l’aéroport.